Il n’y avait pas de bruit autour. Rien de spécifique. Juste cette remue-ménage qu’on ne sait plus où porter. Pas une hâte. Plutôt une tension qui arrive dans le paume du quotidien. Trop de joies en arrière-plan. Pas pas mal de explications dans le tangible. Ce n’était pas un malheur, ni une cataclysme. C’était une de ces soirées où l’on debute à chercher sans apprendre ce qu’on cherche. Une hésitation qui ne faible pas. Un besoin pas sûr d’un signifiant extérieur. Le téléphone était déjà là, posé sur la table. Une maniérisme rapide. Une interface dégagé. Une option qu’on n’avait jamais envisagée ardemment. Une position posée par écrit. Quelques données, pas plus. Juste de quoi déterminer ce qui revenait depuis de multiples journées, sans à l'infini savoir pourquoi. Le message est fraction. Pas de notification. Pas d’animation. Juste un écran qui revient à sa neutralité. Mais quelque chose avait déjà changé. Ce qui était intérieur avait été confié à l’extérieur. La réaction est arrivée après. Discrète. Pas coûteuse en temps. Quelques formes. Aucune mise en forme. Un intonation apaisement, presque impartial. Ce qui a retenu l’attention, ce n’était pas le contenu général. C’était un mot. Une écriture. Une description glissée dans la phrase. Elle n’expliquait rien. Elle montrait. Comme une orientation qu’on n’avait pas envisagée. Le message a été relu. Lentement. Puis fermé. Rien n’a bougé autour. Mais dedans, l’espace était un peu clairement. Ce que ce format avait brevets, ce n’était pas un contact exhaustive. Ce n’était pas une authenticité. C’était un recentrage. Un petit réajustement silencieux. Un mouvement métrique une ligne un doigt plus acharné. Le geste que ce soit passé par écrit, sans sons, sans présence directe, avait évité le débordement. Le rythme était resté supportable. La lecture avait duré ample. L’effet, intérieur.

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